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ACTION
CULTURELLE

Dans son métier d’artiste, Kwal attache beaucoup d’importance à l’action culturelle auprès des publics. Le contact humain y est très concret, il s’installe plus durablement que lors d’un concert ou d’un spectacle: on est dans l’échange.

// Ateliers à partir de 8 ans pour tout les publics //

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Kwal souhaite proposer, autour du spectacle, des rencontres avec le public autour de la thématique « musique et citoyenneté ». Fort de ses nombreux voyages (Mali, Palestine, Égypte, Algérie, Maroc, Cuba, Japon, Inde, Sénégal, Australie, Québec…) et de ses rencontres auprès de publics empêchés, Kwal ne prétend pas faire le tour des questions qui nous submergent. Pourtant, celles qu’il aborde avec délicatesse, sensibilité, humour, prudence et respect, évoquent nos expériences, nos envies d’évasions, de voyages et de curiosité.

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Les ateliers font ressortir des choses extraordinaires chez les participants: certains s’y découvrent de véritables passions. Ecrire, monter sur scène, ramener chez soi une trace de son travail peut s’accompagner d’une prise de confiance en soi.

 

> Un temps d’écriture

A chaque séance, Kwal prend un temps individuel avec chacun des participants afin d’élaborer un texte personnel s’adaptant aux idées de chacun ou proposant une série d’exercice autour de l’imaginaire. Il prend le temps avec chacun de faire « accoucher » les idées, de travailler dans un climat de confiance.

 

> Un temps de travail à la mise en musique

Accompagné d’un intervenant (piano ou guitare), les participants qui le souhaitant mettent leur texte en musique. Ils y découvrent le plaisir de l’oralité. Jouer avec les mots, dire devant un public ce qu’on a en soi, apprendre à maîtriser le micro, le dialogue avec l’instrument, les silences.

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Un temps de restitution collective

Sous forme de concert, de mini-concert, la restitution pourra être aussi bien intimiste que publique. Cette restitution est une finalité de l’atelier: elle vient mobiliser les participants en fixant un enjeu qui les motive. Toutefois, les ateliers sont basés sur le principe du volontariat: chacun est libre de lire, faire lire, de ne pas son texte, mis en musique ou mis en scène. A la suite du mini-concert, Vincent joue quelques-uns de ses morceaux. Ainsi, chacun participe à un moment de restitution collective.

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> Un temps d’enregistrement

Point final du travail: l’enregistrement des textes en musique, pour en faire un album. C’est le moyen pour les participants de garder durablement une trace de leur travail, qu’ils pourront faire écouter à leurs proches. Ce travail d’enregistrement est valorisant. Il est proposé, en compagnie de Vincent, par Nicolas Houssin, ingénieur du son, réalisateur de nombreux albums de musique. L’album mixé sera ensuite remis à la structure.

Un autre prolongement possible de ces ateliers d’écriture est la production d’une création artistique à partir des textes des participants. Sous la forme d’un spectacle mis en scène par un comédien professionnel, celui-ci peut même être joué plusieurs fois. Des échanges pourraient être imaginés avec les réseaux d’associations pour permettre à une création de jouer au-delà de son territoire.

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Interventions auprès de publics empêchés
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Kwal ayant toujours eu comme priorité de mettre son art « au service de… », il fait aujourd’hui des ateliers auprès de publics empêchés (milieux médicaux, carcéraux, sociaux défavorisés, handicapés, personnes isolées…) une de ses priorités. La mise en mots dans des milieux où la souffrance est présente prend un aspect particulièrement « thérapeutique », et donne lieu à des textes extrêmement forts la plupart du temps. C’est aussi un levier pour reprendre confiance en soi.

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Ils ont fait confiance à Vincent Loiseau   :

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- Maison d'Arrêt (Angers, La Roche sur Yon, Fontenay le Comte...)

- Bibliothèques et Médiathèques ( Les Ponts de Cé, Strasbourg, Calvados...)

- CHU Pôle Pédiatrie Robert Debré à Angers

- Association GEM à Cholet

- Ecoles primaires ( Curé d'Arts à Angers, Corné, St Mathurin...)

- Lycées ( LycéePro St Aubin de la Salle à Angers, Lycée Charles Despiau à Mont de Marsan...)

 

Photo Joris Favreau
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